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Cлово "PRIER"
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Часть текста: papa 1 . Vous pouvez Vous imaginer, ma bonne et chère sœur, combien cette nouvelle m’a rendu triste. Je crois que le frère Dmitry doit être parti, puisque maman m’écrit qu’elle l’attend; aussi je n’écris qu’à Vous pour Vous féliciter de la fête de Pâques. J’espère que Vous n’avez pas de doute sur la sincérité des vœux que je fais pour Votre bonheur et celui de toute votre famille, que j’aime de tout mon cœur. Il y a bien longtemps que je ne reçois aucune nouvelle de Vous; il n’y a que madame Séréda qui m’en donne quelquefois. Le gouverneur de Wiatka intercède en ma faveur auprès du ministre de l’intérieur, et si son intercession a du succès, j’espère Vous voir bientôt pour ne plus me séparer de Vous 2 . En général il s’est passé bien des choses tristes pour moi dans le dernier temps. Les gens que j’affectionnais le plus, se plaisent à me briser le cœur qui n’a jamais été bien fort, et je serais bien heureux de pouvoir recommencer la vie solitaire que je menais à Pétersbourg. Vous me permettez de Vous prier, ma bonne sœur, de remettre la lettre ci-jointe à m-me Séréda. Elle m’écrit qu’elle Vous voit assez souvent; je ne sais si c’est vrai, parce que trompé que je suis de toute part je commence de douter de la vérité de quoique ça soit. Je vous prie de dire tout ce que Vous trouverez de mieux de ma part à madame votre mère, ainsi qu’à madame Aline, et j’embrasse de tout mon cœur vos enfants. Sur ce, en Vous priant de ne pas m’oublier, je reste comme toujours Votre frère dévoué M. Soltykoff. Перевод: Вятка. 27 марта. Я только что получил известие о смерти отца 1 . Вы можете себе представить,...
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Часть текста: eu ces jours-là, Madame, et je connais la part que Vous avez prise à me rendre mon infortune plus facile à supporter. Aussi ne me reste qu’à Vous prier encore une fois, Madame, de vouloir bien croire à ma vénération filiale qui est d’autant plus franche que je n’ai pas le bonheur de m’appeler votre fils. C’est avec ces sentiment de haute considération et de profond respect que j’ai l’honneur d’être, Madame, votre très humble et très obéissant serviteur Michel Saltykoff. Ce 8 Mai 1848 Перевод: Сударыня, Моя несчастная судьба захотела оторвать меня от Вас и всего, что мне более всего дорого, но она бессильна, когда дело идет о моих сердечных привязанностях. Ибо я умоляю Вас, сударыня, верить, что лучшее место в моем сердце вечно будет принадлежать Вам и тем, кто дорог Вам, и что безграничная моя преданность будет служить лишь слабой данью, которая так и не даст мне возможности расплатиться за все благодеяния, которыми Вы меня осыпали. Если в горькие дни учатся узнавать тех, кто нас любит, то у меня были такие дни, сударыня, и я знаю долю Вашего участия, облегчившего мои невзгоды. Поэтому, мне остается только просить Вас еще раз, сударыня, быть уверенной в моей сыновней преданности, которая тем более искренна, что я не имею счастья именоваться Вашим сыном. С ...